LES POÈMES QUE VOUS AIMEZ...

[Serge Loriaux]

Écrivez ici les poèmes ou les textes qui vous tiennent à coeur!

[elysee champion Profil Message privé]

....Merci a Vous de me permettre d'écrire ceci, et cela..

..........Le poème qui suit a été écrit par un de nos élèves suite au séminaire : Maîtrise des Relations :
Les Enfants Vivent Comme on le Leur a Appris
Si un enfant vit dans la critique
il apprend à condamner.
Si un enfant vit dans l'hostilité,
il apprend à se battre.
Si un enfant vit dans le ridicule,
il apprend à être timide.
Si un enfant vit dans la honte,
il apprend à être coupable.
Si un enfant vit dans la tolérance
il apprend à être patient.
Si un enfant vit dans l'encouragement,
il apprend à avoir confiance.
Si un enfant vit l'appréciation,
il apprend à apprécier.
Si un enfant vit dans l'honnêteté,
il apprend à être juste.
Si un enfant vit dans la sécurité,
il apprend à faire confiance.
Si un enfant vit dans l'approbation,
il apprend à reconnaître.
Si un enfant vit dans l'acceptation,
il partage son amour unique avec le monde.

[elysee champion Profil Message privé]

.....L'Acceptation de soi est la clé de la grandeur.
Nous sommes tous les meilleurs pour ce qui est d'être
différents et uniques.
Une fois que vous vous percevrez de cette façon, on ne pourra jamais vous faire sentir inférieur et tous
les sentiments que vous associez au fait de ne pas être à la hauteur disparaîtront de votre vie.
Une vision claire de votre soi individuel et unique vous rend inaccessible à toute condamnation quelle
qu'elle soit. Une fois que vous vous sentirez unique, vous comprendrez aussi votre valeur et n'aurez
plus besoin de continuer à jouer des rôles vis-à-vis de vous-même et des autres.
A ce moment-là, vous atteindrez la plus grande liberté qui soit :
Vous ne vivrez plus
pour les attentes des autres,
vous serez uniquement vous.
Vous vous accepterez,
Vous retournerez à la source
et feintes et comparaisons
déserterons votre réalité.
Le mystère d'acquérir
une haute Estime de Soi
réside dans le fait d'en gagner davantage
chaque fois que vous vous rendez compte
que vous ne pouvez être
que qui vous êtes.
Voilà le paradoxe.

[elysee champion Profil Message privé]

.....

....
.........................................Poème sur la vie



la vie est une chance, saisis-la

la vie est beauté, admire-la

la vie est béatitude, savoure-la

la vie est un rêve, fais-en une réalité

la vie est un défi, fais lui face

la vie est un devoir, accomplis-le

la vie est un jeu, joue-le

la vie est précieuse, prends-en soin

la vie est richesse, conserve-la

la vie est amour, jouis-en

la vie est un mystère, perce-le


la vie est une promesse, remplis-la

la vie est tristesse, surmonte-la

la vie est un hymne, chante-la

la vie est un combat, accepte-le

la vie est une aventure, ose-la

la vie est bonheur, mérite-le

la vie est la vie, défends-la

[elysee champion Profil Message privé]

..................elle est pour vous.

.................................Nostalgie...Lorsque les jours sombres reviennent, les jours de pluie, de brumes, lorsque je m’ennuie que je me sens triste...
La nostalgie, les doux souvenirs, que j'aimerai revivre à nouveau me font rêver encore...
Dès que la nuit descend sa noirceur sur moi et qu’il fait noir!
Cette étoile parmi les autres qui scintille au firmament, me guide dans la noirceur de ma vie, fait voltiger mes pensées…
A présent, je me laisse voguer sur mon bateau à la belle étoile, à la dérive, j’échouerais sur le rivage de cette île enchanteresse…
ou règne encore le rêve des amoureux... Où il fait bon me retrouver et me redonne l'espoir en des jours plus heureux...
Je me retrouve là... où je vais pour penser à toi...
Sur ce rocher, j’ai écris ton nom, jamais je ne l'oublierai...
Mon amour pour toujours...

GinVal.

[Serge Loriaux]

......14-18 FOLIE MEURTRIERE



14-18C’était la grande guerre

Ils ont vécu l’enfer

C’était la grande guerre

La folie meurtrière



Par un beau jour d’été

Sous un ciel bleu d’azur

Le clairon a sonné

Pour la grande aventure

Ils partirent faire la guerre

Au nom de la patrie

Ils étaient jeunes et fiers

Et la fleur au fusil



Mais du chemin des dames

Au fort de Douaumont

Ils ont perdu leur âme

Sous le feu des canons

Avec la peur au ventre

Ils chantaient la Madelon

En plein mois de décembre

Quand ils montaient au front



Ils tombaient un à un

Fauchés par la mitraille

De la Marne à Verdun

Au coeur de la bataille

Partout des trous de bombes

Partout des trous d'obus

Comme la fin d'un monde

Qui leur tombait dessuss



Ils ont pleuré de joie

Le jour de l’armistice

Quand enfin arriva

La fin de leur supplice

Après un grand silence

Les cloches de la paix

Dans le ciel de France

Se mirent à sonner



14-18

C’était la grande guerre

C’était la der des ders

Mais cette grande guerre

Ne fut pas la dernière



Jacques-Hubert FROUGIER

[Serge Loriaux]

.Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas.

Merci.

[elysee champion Profil Message privé]

'Mes poèmes: Etats d'âme'
A coeur ouvert

Il y a tellement de souffrances dans le monde

Que vaut donc la mienne?

Moi qui ne suis qu'une inconnue quelconque

Mais mon coeur saigne…



Donnez moi juste quelques secondes,

Que je libère cette peine

Car comme un fleuve sans embouchure

Mon désespoir s'écoule



Je suis cet être humain qui a perdu son âme

Désormais vide derrière la chair

Est-ce que tu sais à quel point cela fait mal

De vivre dans le néant de l'Univers?



Quand ton esprit s'égare dans ce brouillard

Tu te retrouves orphelin

Il n'y a plus de soleil, aucune étoile,

Juste un chemin interminable.



Dans le lointain, bien sûr, j'entends des cris

Quelquefois certains m'appellent

Alors à cet instant je sens mon âme revenir

Et puis, je la perd



Peut-être m'en sortirai-je, si je continue mes pas

Le long de ce chemin

Qu'y-a-t-il tout au bout de ce sombre tunnel ?

Derrière moi tout est noir…

Angie

[elysee champion Profil Message privé]

....Désir, tu me tiens.
Posted on 16 mai 2011 by Eva Mazone
Nus, nous sommes. Je pose mes mains sur toi, mes paumes contre ta peau, mes doigts qui te palpent. Je ne retiens pas les tremblements qui me gagnent, j’ai les lèvres qui frémissent lorsque je les approche de ton corps. J’ai si faim de toi!!! Depuis longtemps, le désir, refoulé, mais si vivant… enfin, enfin je te hume, je te goûte presque, tu es là, au bout de ma langue, si près de ma bouche. Mais je savoure ces derniers moments d’attente, j’aime tellement te désirer, j’aime lorsque l’air se remplit de toi, de ton odeur, que je reconnais si bien… ah oui! Et je t’entends respirer, tu poses ta main sur le côté de ma tête, je lève mon visage vers toi et je te vois, tu me souris… Je retiens mon souffle un moment, éblouie. Qu’est-ce que tu es beau, toi! La vue de toi me souriant me chavire, le désir afflue, brûlant, urgent. Je tremble, mon souffle devient arythmique, je suis coite et moite et tu te penches vers mes lèvres et tu y apposes les tiennes… et ce baiser si doux, la rosée contre le volcan… je m’évapore, je perds toute consistance et tu me prends dans tes bras car mes jambes flageolent…

Tu me tiens, désir.

[elysee champion Profil Message privé]

Quand j'étais gosse, haut comme trois pommes
J'parlais bien fort pour être un homme
J'disais : je sais, je sais, je sais, je sais

C'était l'début, c'était l'printemps
Mais quand j'ai eu mes dix-huit ans
J'ai dit : je sais, ça y est, cette fois, je sais

Et aujourd'hui, les jours où je m'retourne
J'regarde la Terre où j'ai quand même fait les cent pas
Et je n'sais toujours pas comment elle tourne !

Vers vingt-cinq ans, j'savais tout : l'amour, les roses, la vie, les sous
Tiens oui l'amour ! J'en avais fait tout l'tour !

Mais heureusement, comme les copains, j'avais pas mangé tout mon pain :
Au milieu de ma vie, j'ai encore appris.
C'que j'ai appris, ça tient en trois, quatre mots :

Le jour où quelqu'un vous aime, il fait très beau
J'peux pas mieux dire : il fait très beau !

C'est encore ce qui m'étonne dans la vie
Moi qui suis à l'automne de ma vie
On oublie tant de soirs de tristesse
Mais jamais un matin de tendresse !

Toute ma jeunesse, j'ai voulu dire "je sais"
Seulement, plus je cherchais, et puis moins j'savais

Il y a soixante coups qui ont sonné à l'horloge
J'suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j'm'interroge :

Maintenant je sais, je sais qu'on n'sait jamais !

La vie, l'amour, l'argent, les amis et les roses
On n'sait jamais le bruit ni la couleur des choses
C'est tout c'que j'sais ! Mais ça, j'le sais !

Merci Mons. Gabin