Die sur la route...
- Die
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Re: Die sur la route...
Jour 18… suite
Après notre arrêt internet, on s’est dirigé vers Port Aransas. On a visité sommairement quelques RV Resort et nous sommes allés voir la possibilité de camper sur la plage. Effectivement, on a droit à un 3 jours de « free camping » en autant qu’on achète un « Beach Parking Permit ». Bon, ce n’est pas dispendieux à $12 pour un an – lolll – et même si on reste que 3 jours, ça revient à $4/jour. On peut donc camper directement sur la grève, sans service évidemment. Par contre, il y a des toilettes chimiques style Port-O-Let et plus loin de « vraies toilettes » plus ou moins convenables mais tout de même acceptable en cas de nécessité. On a aussi notre VR, faut pas l’oublier! Il y aurait également des douches à $1.00 par « shot » mais après vérification auprès de campeurs, ça en prend $2 car le premier dollar est pour faire « venir » l’eau chaude et l’autre dollar, ben tu te dépêches à te laver et te rincer – lolll. On a également visité un terrain de camping sur la beach avec eau et des prises électriques de 30 amp. sur chaque site. La vidange se fait en sortant du site. Les douches sont à la réception et c’est entièrement rénové, super propre. Les autres RV Resort sont en un petit peu plus loin de la mer, certains terrains étant vraiment faits pour la classe des riches retraités américains (ou canadiens – loll). On a fait le tour du petit village de Port Aransas et c’est agréable sans être un El Dorado ! On passe devant un restau où il y a plein d’autos… au point où on se demande s’il y a un party. On fait demi-tour et on va voir de quoi il s’agit… bien non, c’est un restau mexicain et c’est l’heure du dîner tout simplement même s’il n’est que 11h30. On décide d’entrer… le menu du jour est à $4.95 et on a 3 choix : fajitas de pollo (poulet) avec riz et salsa de tomates/oignons et des courgettes frites (ce que j’ai pris), l’assiette mexicaine mixte (1 taco de res (bœuf),2 enchiladas de queso (fromage), du riz et des frioles (beans) qu’André a pris et un troisième choix dont je ne me souviens plus du nom car on ne l’a pas choisi. Donc, une grosse facture de $10 pour dîner et c’était super bon et les assiettes très bien remplies. À tel point qu’on ne soupera pas encore de soir – lolll. On s’est arrêté au IGA de la place pour quelques petites commissions et au retour, encore à l’internet confirmer notre venue à nos connaissances au South Padre Island.
Une fois à la roulotte, lecture, ordi et relax… On a discuté concernant ce qu’on pourrait prendre comme camping à Port Aransas. On doit quitter ici le 22 décembre, donc on se retrouve avec Noël… par conséquent on prévoit prendre nos 3 jours de free camping les 22-23-24 et pour Noël on se paiera le camping sur le bord de mer mentionné plus haut pour 2-3 jours et après quoi, en partant de là, on pourra descendre et aller rejoindre nos connaissances à Port Isabel pour y passer le Jour de l’An. N’est-ce pas merveilleux ? Et que la vie est belle et bonne pour nous !
J’écris « j’aime ceci » ou « je n’aime pas cela » mais ce sont juste des réflexions sur certains aspects du camping… mais je peux vous avouer sans détour que j’aime cette vie… la vie du caravaning… avec tout ce que ça implique comme adaptation. Je ne pense pas que j’aimerais être stationnée durant 5-6 mois au même endroit. Je suis une nomade dans l’ âme !
Jour 19 – samedi 18 décembre 2010
Réveillés vers 7h00 on a rien prévu pour aujourd’hui. Une fois le déjeuner pris, André veut aller vidanger car on est pas mal dû là !!! Alors on fait notre vaisselle d’hier soir et du déjeuner, on allume notre réservoir d’eau chaude et on attelle la roulotte pour aller vidanger. On se rempli d’eau propre et on se stationne plus loin, le temps de prendre chacun nos douches – à l’eau chaude s.v.p. – et on revidange et on se re-rempli d’eau propre. Nous revoilà de retour à notre site. Les québécois d’en face viennent nous saluer et on jase. Curieusement, elle se nomme Sylvie et son mari Robert (pour ceux qui ne connaissent pas ma famille, ma sœur se nomme Sylvie et son mari Robert) et ce sont des gens de Victoriaville. Ils ont bien de la jasette, agréable mais j’ai dû les interrompre vers 1h30 pour que l’on puisse dîner… si non, je pense qu’on serait encore à jaser – lolll. En après-midi, ce fut lecture pour nous deux, bien assis à l’abri du vent mais avec un bon gilet sur le dos car ce n’est pas très chaud aujourd’hui malgré le beau soleil. Comme on nous annonce un 35-39 pour cette nuit, j’en ai profité pour faire aller le four… j’ai un petit poulet qui est à cuire. Ça a l’avantage de réchauffer la roulotte en même temps. Et pendant ce temps je termine mon 4ième roman de John Grisham, L’Héritage. Je ne l’avais pas lu mais l’intrigue n’est pas à la hauteur de cet auteur. Il m’a habitué à un meilleur scénario avec L’Affaire Pélican ou La Firme. J’suis déçue… il n’y a pas de véritable suspense si ce n’est qu’aux dernières 100 pages sur 378 !!! Où c’est moi qui deviens plus critique – lolll.
Rien de plus pour aujourd’hui… n’ayant rien fait d’exceptionnel. A+
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Une fois à la roulotte, lecture, ordi et relax… On a discuté concernant ce qu’on pourrait prendre comme camping à Port Aransas. On doit quitter ici le 22 décembre, donc on se retrouve avec Noël… par conséquent on prévoit prendre nos 3 jours de free camping les 22-23-24 et pour Noël on se paiera le camping sur le bord de mer mentionné plus haut pour 2-3 jours et après quoi, en partant de là, on pourra descendre et aller rejoindre nos connaissances à Port Isabel pour y passer le Jour de l’An. N’est-ce pas merveilleux ? Et que la vie est belle et bonne pour nous !
J’écris « j’aime ceci » ou « je n’aime pas cela » mais ce sont juste des réflexions sur certains aspects du camping… mais je peux vous avouer sans détour que j’aime cette vie… la vie du caravaning… avec tout ce que ça implique comme adaptation. Je ne pense pas que j’aimerais être stationnée durant 5-6 mois au même endroit. Je suis une nomade dans l’ âme !
Jour 19 – samedi 18 décembre 2010
Réveillés vers 7h00 on a rien prévu pour aujourd’hui. Une fois le déjeuner pris, André veut aller vidanger car on est pas mal dû là !!! Alors on fait notre vaisselle d’hier soir et du déjeuner, on allume notre réservoir d’eau chaude et on attelle la roulotte pour aller vidanger. On se rempli d’eau propre et on se stationne plus loin, le temps de prendre chacun nos douches – à l’eau chaude s.v.p. – et on revidange et on se re-rempli d’eau propre. Nous revoilà de retour à notre site. Les québécois d’en face viennent nous saluer et on jase. Curieusement, elle se nomme Sylvie et son mari Robert (pour ceux qui ne connaissent pas ma famille, ma sœur se nomme Sylvie et son mari Robert) et ce sont des gens de Victoriaville. Ils ont bien de la jasette, agréable mais j’ai dû les interrompre vers 1h30 pour que l’on puisse dîner… si non, je pense qu’on serait encore à jaser – lolll. En après-midi, ce fut lecture pour nous deux, bien assis à l’abri du vent mais avec un bon gilet sur le dos car ce n’est pas très chaud aujourd’hui malgré le beau soleil. Comme on nous annonce un 35-39 pour cette nuit, j’en ai profité pour faire aller le four… j’ai un petit poulet qui est à cuire. Ça a l’avantage de réchauffer la roulotte en même temps. Et pendant ce temps je termine mon 4ième roman de John Grisham, L’Héritage. Je ne l’avais pas lu mais l’intrigue n’est pas à la hauteur de cet auteur. Il m’a habitué à un meilleur scénario avec L’Affaire Pélican ou La Firme. J’suis déçue… il n’y a pas de véritable suspense si ce n’est qu’aux dernières 100 pages sur 378 !!! Où c’est moi qui deviens plus critique – lolll.
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Le bonheur n'est pas une destination... mais une façon de voyager !
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Re: Die sur la route...
Jour 20 – dimanche 19 décembre 2010
Oh la la la… je me suis brûlée la figure hier en jasant, en plein midi, avec les voisins québécois d’en face, suivi de mon heure ou deux de lecture. Nous étions assis au frais et je ne me suis pas méfiée du soleil. Et brûlée pas juste un peu… moi qui prends un soin énorme à éviter les expositions au soleil because cancer de la peau ! Eh maudit !!! Au levée ce matin j’avais toute la face enflée et mes pommettes ne sont pas juste rouge mais d’un rouge-bleuté. Je vais donc m’enfermer dans la roulotte pour la journée, question d’évider le soleil à tout prix, et me mettre de la crème sur les joues. J’ai de la crème hydratante mais j’ai aussi un onguent de vitamine E qui normalement régénère la peau. Alors, je n’aurai pas grand-chose à vous raconter si ce n’est que je vais entamer mon 5ième roman : La Griffe du Sud de Patricia Cornwell. J’adore lire, mais je suis très très sensible à la façon d’écrire des auteurs et aussi à la traduction. Même si le scénario est bon, il m’arrive d’avoir de la difficulté à lire un livre juste dans la manière dont les textes sont composés. Quand je lis un suspense, je n’aime pas avoir un tas de détails sur l’architecture d’une maison ou le paysage qui défile le long d’une route… vous voyez ce que je veux dire. J’aime être vite mise dans le sujet et dans l’action, ce qui est assez rare. Et là Patricia en beurre épais, même qu’elle fait « réfléchir » le chat et le chien de ses deux flics, héros du roman. En fait, elle écrit des trucs comme : « Niles (c’est le chat) aimait beaucoup Andy qu’il avait surnommé Le Pianiste… » ou « Popeye (ça c’est le chien de l’autre) songeait comment il était idiot que sa maîtresse dise « on » quand elle lui parlait. Popeye savait bien que… etc… ». Non mais… Trop, c’est comme pas assez – lolll. Espérant que l’intrigue me distraira des envolées littéraires inutiles de Madame Cornwell !
Donc, ma journée s’est limité à la lecture, 1h20 d’ordi (car c’est tout ce que ma batterie à pleine charge peut supporter – ce soir à l’heure du souper, je la rechargerai pour vous écrire) et mon p’tit barda habituel. André, quant à lui, est allé marcher et prendre des photos et tout comme moi l’an dernier, il a perdu le cap de sa lentille. Quand je m’en suis achetée un autre, le vendeur chez Lozeau, m’a fortement suggéré d’acheter également la corde qui permet de garder le cap attaché à ma caméra, ce que je n’ai jamais regretté. J’pense qu’André en fera autant s’il trouve un magasin de caméra en descendant plus au sud du Texas. Car il se cherche toujours une batterie neuve. Et parlant caméra, la mienne, la petite achetée l’an dernier pour la modique somme de $70 semble avoir rendu l’âme. L’écran m’affiche une image comme si il y avait une fissure dans la lunette et pourtant ce n’est pas le cas. Bizarre Bizarre.
Voilà pour ma journée « ménager sa face » - lolll. Espérant que demain l’enflure sera partie et que mes rougeurs en resteront là sans pour autant desquamer dans quelques jours.
Jour 21 – lundi 20 décembre 2010
Ça va beaucoup mieux aujourd’hui. L’onguent de vitamine E a fait des merveilles… reste à désenfler un peu – lolll. On quitte le National SeaShore mercredi pour Port Aransas mais on sera campés sur la grève. Donc j’ignore quand je pourrai me re-connecter à internet. A+
Oh la la la… je me suis brûlée la figure hier en jasant, en plein midi, avec les voisins québécois d’en face, suivi de mon heure ou deux de lecture. Nous étions assis au frais et je ne me suis pas méfiée du soleil. Et brûlée pas juste un peu… moi qui prends un soin énorme à éviter les expositions au soleil because cancer de la peau ! Eh maudit !!! Au levée ce matin j’avais toute la face enflée et mes pommettes ne sont pas juste rouge mais d’un rouge-bleuté. Je vais donc m’enfermer dans la roulotte pour la journée, question d’évider le soleil à tout prix, et me mettre de la crème sur les joues. J’ai de la crème hydratante mais j’ai aussi un onguent de vitamine E qui normalement régénère la peau. Alors, je n’aurai pas grand-chose à vous raconter si ce n’est que je vais entamer mon 5ième roman : La Griffe du Sud de Patricia Cornwell. J’adore lire, mais je suis très très sensible à la façon d’écrire des auteurs et aussi à la traduction. Même si le scénario est bon, il m’arrive d’avoir de la difficulté à lire un livre juste dans la manière dont les textes sont composés. Quand je lis un suspense, je n’aime pas avoir un tas de détails sur l’architecture d’une maison ou le paysage qui défile le long d’une route… vous voyez ce que je veux dire. J’aime être vite mise dans le sujet et dans l’action, ce qui est assez rare. Et là Patricia en beurre épais, même qu’elle fait « réfléchir » le chat et le chien de ses deux flics, héros du roman. En fait, elle écrit des trucs comme : « Niles (c’est le chat) aimait beaucoup Andy qu’il avait surnommé Le Pianiste… » ou « Popeye (ça c’est le chien de l’autre) songeait comment il était idiot que sa maîtresse dise « on » quand elle lui parlait. Popeye savait bien que… etc… ». Non mais… Trop, c’est comme pas assez – lolll. Espérant que l’intrigue me distraira des envolées littéraires inutiles de Madame Cornwell !
Donc, ma journée s’est limité à la lecture, 1h20 d’ordi (car c’est tout ce que ma batterie à pleine charge peut supporter – ce soir à l’heure du souper, je la rechargerai pour vous écrire) et mon p’tit barda habituel. André, quant à lui, est allé marcher et prendre des photos et tout comme moi l’an dernier, il a perdu le cap de sa lentille. Quand je m’en suis achetée un autre, le vendeur chez Lozeau, m’a fortement suggéré d’acheter également la corde qui permet de garder le cap attaché à ma caméra, ce que je n’ai jamais regretté. J’pense qu’André en fera autant s’il trouve un magasin de caméra en descendant plus au sud du Texas. Car il se cherche toujours une batterie neuve. Et parlant caméra, la mienne, la petite achetée l’an dernier pour la modique somme de $70 semble avoir rendu l’âme. L’écran m’affiche une image comme si il y avait une fissure dans la lunette et pourtant ce n’est pas le cas. Bizarre Bizarre.
Voilà pour ma journée « ménager sa face » - lolll. Espérant que demain l’enflure sera partie et que mes rougeurs en resteront là sans pour autant desquamer dans quelques jours.
Jour 21 – lundi 20 décembre 2010
Ça va beaucoup mieux aujourd’hui. L’onguent de vitamine E a fait des merveilles… reste à désenfler un peu – lolll. On quitte le National SeaShore mercredi pour Port Aransas mais on sera campés sur la grève. Donc j’ignore quand je pourrai me re-connecter à internet. A+
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Le bonheur n'est pas une destination... mais une façon de voyager !
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- sunshine
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Re: Die sur la route...
Bonjour Die,
Juste une petite suggestion pour votre lecture, si vous aimez les suspenses qui ne font pas trop dans la dentelle (lire trop de détail) j'aime bien les bouquins de
Robert Ludlum, Vince Flynn et David Baldaci... Bonne lecture !
Dommage pour le coup de soleil... prenez soin de vous !
Bonne continuation...
Sunshine/Sylvie
Juste une petite suggestion pour votre lecture, si vous aimez les suspenses qui ne font pas trop dans la dentelle (lire trop de détail) j'aime bien les bouquins de
Robert Ludlum, Vince Flynn et David Baldaci... Bonne lecture !
Dommage pour le coup de soleil... prenez soin de vous !
Bonne continuation...
Sunshine/Sylvie
Un objectif sans temps limite n'est pas réellement un objectif... C'est un rêve.
(Harold R. Mc alindon)
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- GS8367
Re: Die sur la route...
À lire tes aventures, "si je peux les appeler comme çà", je me croirais à l'âge de pierre ou presque
Je me souviens de ce genre d'aventures lorsque j'étais jeune homme, début vingtaine, et j'aimais ce genre de vie nomade ou presque, à se doucher une fois/semaine etc...
Aujourd'hui, à mon âge je profite de ce que j'ai gagné au cours de ma vie et j'en profite au MAX et pour moi la vie en véhicule récréatif est une extension sur roues de mon chez moi avec la possibilité de me doucher au moins une fois par jour et apprécier tout le confort que peut offrir un VR bien équipé.
Il faut dire qu'on est au 21 iè siècle avec le WI-FI, la télévision satellite sans oublier les caméras digitales, pourquoi alors se priver des services essentiels de base qu'est l'eau courante et l'électricité ?
La genre de vie que je mène dans le VR reflète exactement le genre de vie que je mène à tous les jours dans mon chez moi.
Je me souviens de ce genre d'aventures lorsque j'étais jeune homme, début vingtaine, et j'aimais ce genre de vie nomade ou presque, à se doucher une fois/semaine etc...Aujourd'hui, à mon âge je profite de ce que j'ai gagné au cours de ma vie et j'en profite au MAX et pour moi la vie en véhicule récréatif est une extension sur roues de mon chez moi avec la possibilité de me doucher au moins une fois par jour et apprécier tout le confort que peut offrir un VR bien équipé.
Il faut dire qu'on est au 21 iè siècle avec le WI-FI, la télévision satellite sans oublier les caméras digitales, pourquoi alors se priver des services essentiels de base qu'est l'eau courante et l'électricité ?
La genre de vie que je mène dans le VR reflète exactement le genre de vie que je mène à tous les jours dans mon chez moi.

- sunshine
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Re: Die sur la route...
GS8367 a écrit:À lire tes aventures, "si je peux les appeler comme çà", je me croirais à l'âge de pierre ou presqueJe me souviens de ce genre d'aventures lorsque j'étais jeune homme, début vingtaine, et j'aimais ce genre de vie nomade ou presque, à se doucher une fois/semaine etc...
Aujourd'hui, à mon âge je profite de ce que j'ai gagné au cours de ma vie et j'en profite au MAX et pour moi la vie en véhicule récréatif est une extension sur roues de mon chez moi avec la possibilité de me doucher au moins une fois par jour et apprécier tout le confort que peut offrir un VR bien équipé.
Il faut dire qu'on est au 21 iè siècle avec le WI-FI, la télévision satellite sans oublier les caméras digitales, pourquoi alors se priver des services essentiels de base qu'est l'eau courante et l'électricité ?
La genre de vie que je mène dans le VR reflète exactement le genre de vie que je mène à tous les jours dans mon chez moi.
Il faut croire qu'il y a autant de ''genre de vie'' qu'il y a d'individu... à chacun sa façon
Sunshine/Sylvie
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- jacmat
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Re: Die sur la route...
En plus il n'y a pas une seule facon de le faire ou de la vivre.
Il ne faut pas oublier que pour beaucoup de personnes vivre dans un VR est une aberration et ils ne comprennent pas cet engouement. Plusieurs individus préfèrent vivre et voyager en avion en première classe et demeurer dans des hotels 5 étoiles et manger dans de super restaurants avec des chefs de renommée.
D'autres personnes elles au lieu d'aller vers le sud l'hiver se dirigent vers le nord pour y faire de la motoneige, raquette, ski de fond etc, etc.
En résumé LGN ta facon n'est pas la meilleure, mais est celle que tu préfères. Die elle vit de la facon qu'elle préfère. Egalement je ne pense pas que Die a écrit qu'elle ne prenait pas une douche tous les jours.
Il ne faut pas oublier que pour beaucoup de personnes vivre dans un VR est une aberration et ils ne comprennent pas cet engouement. Plusieurs individus préfèrent vivre et voyager en avion en première classe et demeurer dans des hotels 5 étoiles et manger dans de super restaurants avec des chefs de renommée.
D'autres personnes elles au lieu d'aller vers le sud l'hiver se dirigent vers le nord pour y faire de la motoneige, raquette, ski de fond etc, etc.
En résumé LGN ta facon n'est pas la meilleure, mais est celle que tu préfères. Die elle vit de la facon qu'elle préfère. Egalement je ne pense pas que Die a écrit qu'elle ne prenait pas une douche tous les jours.
- ninii
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Re: Die sur la route...
sunshine a écrit:GS8367 a écrit:À lire tes aventures, "si je peux les appeler comme çà", je me croirais à l'âge de pierre ou presqueJe me souviens de ce genre d'aventures lorsque j'étais jeune homme, début vingtaine, et j'aimais ce genre de vie nomade ou presque, à se doucher une fois/semaine etc...
Aujourd'hui, à mon âge je profite de ce que j'ai gagné au cours de ma vie et j'en profite au MAX et pour moi la vie en véhicule récréatif est une extension sur roues de mon chez moi avec la possibilité de me doucher au moins une fois par jour et apprécier tout le confort que peut offrir un VR bien équipé.
Il faut dire qu'on est au 21 iè siècle avec le WI-FI, la télévision satellite sans oublier les caméras digitales, pourquoi alors se priver des services essentiels de base qu'est l'eau courante et l'électricité ?
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Il faut croire qu'il y a autant de ''genre de vie'' qu'il y a d'individu... à chacun sa façon![]()
Sunshine/Sylvie
emplement d'accord avec toi sunshine,die me fait rêver,

ninii
ALEGRO 2007 32AB
33 PIEDS
HONDA CRV 2021 traction avant
sur dolly Kar Kaddy SS
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Re: Die sur la route...
Si j'ai à choisir entre une douche tous les jours et un endroit sauvage et magnifique pour camper je choisis le deuxième sans hésitation!!! Et en plus ça change du quotidien ! Lorsque les besoins de base deviennent compliqués les gros problèmes de la vie rapetissent
Bravo Die pour rappeler à plusieurs que les plus grands bonheurs ne sont pas toujours liés à l'argent et au confort !
Bravo Die pour rappeler à plusieurs que les plus grands bonheurs ne sont pas toujours liés à l'argent et au confort !- jacomo120
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Re: Die sur la route...
GS8367 a écrit:À lire tes aventures, "si je peux les appeler comme çà", je me croirais à l'âge de pierre ou presqueJe me souviens de ce genre d'aventures lorsque j'étais jeune homme, début vingtaine, et j'aimais ce genre de vie nomade ou presque, à se doucher une fois/semaine etc...
Aujourd'hui, à mon âge je profite de ce que j'ai gagné au cours de ma vie et j'en profite au MAX et pour moi la vie en véhicule récréatif est une extension sur roues de mon chez moi avec la possibilité de me doucher au moins une fois par jour et apprécier tout le confort que peut offrir un VR bien équipé.
Il faut dire qu'on est au 21 iè siècle avec le WI-FI, la télévision satellite sans oublier les caméras digitales, pourquoi alors se priver des services essentiels de base qu'est l'eau courante et l'électricité ?
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Eh bien ça prend toutes sortes de monde pour faire un monde. Moi je préfère la vie simple et l'aventure comme fait Die et je suis d'accord avec Sunshine,Ninii et Benz
Ne laisser personne détruire vos rêves
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Re: Die sur la route...
GS8367 a écrit:À lire tes aventures, "si je peux les appeler comme çà", je me croirais à l'âge de pierre ou presqueJe me souviens de ce genre d'aventures lorsque j'étais jeune homme, début vingtaine, et j'aimais ce genre de vie nomade ou presque, à se doucher une fois/semaine etc...
Aujourd'hui, à mon âge je profite de ce que j'ai gagné au cours de ma vie et j'en profite au MAX et pour moi la vie en véhicule récréatif est une extension sur roues de mon chez moi avec la possibilité de me doucher au moins une fois par jour et apprécier tout le confort que peut offrir un VR bien équipé.
Il faut dire qu'on est au 21 iè siècle avec le WI-FI, la télévision satellite sans oublier les caméras digitales, pourquoi alors se priver des services essentiels de base qu'est l'eau courante et l'électricité ?
La genre de vie que je mène dans le VR reflète exactement le genre de vie que je mène à tous les jours dans mon chez moi.
Je vous comprends très bien de vouloir continuer à vivre dans le luxe et le confort, ce qui semble important pour vous mais il faut aussi comprendre que pour d'autres le luxe et le confort n'est pas ce qui prime pour eux. C'est juste que vous n'êtes pas encore rendu là...

Serge Loriaux, Administrateur du Forum
Directeur général, http://www.VRcamping.com
Directeur général, Caravanes Soleil... pour le Mexique!
Au crépuscule de notre vie, l'important n'est pas de se retourner pour contempler la suite des « succès » que nous avons eus dans l'existence. L'important est d'avoir vécu de nombreuses aventures, heureuses ou malheureuses, et d'avoir fait le plus souvent possible de notre mieux.
Directeur général, http://www.VRcamping.com
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Au crépuscule de notre vie, l'important n'est pas de se retourner pour contempler la suite des « succès » que nous avons eus dans l'existence. L'important est d'avoir vécu de nombreuses aventures, heureuses ou malheureuses, et d'avoir fait le plus souvent possible de notre mieux.
- Voyageur Xpress
Re: Die sur la route...
Campeur(se) depuis l'été 67 en tente, graduellement et 11 équipements plus tard avec un 5th wheel avec extension, mon épouse et moi en sommes venus à la conclusion que nos plus beaux souvenirs de voyage en vr, ceux qui nous ont le plus fait rire, ceux qui nous ont rendu le plus heureux, ceux qui nous ont apporté tant de joies, sont ceux quand nous avions nos petits équipements qui nous permettait de ''bourlinguer au gré du vent'' en faisant du bondocking à gau et à dr.
Au moindre redressement de notre situation financière, mon épouse et moi à 68 ans, reprendrions la route sans itinéraire fixe, sans destination finale, sans but, sans réservation un peu en partie comme Die et André.
Bravo vous deux. Lachez pas. Vivez votre vie à votre façon.
Au moindre redressement de notre situation financière, mon épouse et moi à 68 ans, reprendrions la route sans itinéraire fixe, sans destination finale, sans but, sans réservation un peu en partie comme Die et André.
Bravo vous deux. Lachez pas. Vivez votre vie à votre façon.
- Die
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Re: Die sur la route...
Le confort c'est bien relatif et le "bonheur confortable" encore plus. Je connais des gens qui pensent être heureux dans une maison de $500 milles et d'autres qui le sont vraiment dans une cabane au milieu de presque nulle part. J'ai une belle-soeur qui ne veut rien savoir de la vie en VR même de $250-$300 milles en Classe A disant justement qu'elle a besoin de "son confort". Par contre, j'ai une fille maîtrise en sociologie et cadre au Gouvernement du Yukon qui habite une "cabin" sans eau courante, chauffage au bois seulement et des toilettes extérieures et que je n'ai jamais vue aussi heureuse et épanouie... si bien dans sa peau depuis qu'elle a fait ce choix temporaire de 3 ans.
Tout se passe dans la tête et le coeur. Oui ça peut sembler contraignant d'être campé sur la beach sans service mais qu'est-ce en comparaison de la plénitude, le charme et le bonheur pur ? Il est évident que je ne vivrais pas à l'année de cette façon mais quels beaux instants quand tu peux te le permettre, l'espace de quelques jours, de revenir aux sources pour justement te ressourcer à l'essentiel de la vie et nous permettre justement de relativer son existence et surtout de revenir à l'essentiel de la vie... l'amour, le respect, la foi en toi, aux autres et en dieu (quelqu'il soit).
Les voyages n'est-ce pas fait pour cela ??? À quoi me servirait d'avoir la même chose que chez moi ??? Au prix que ça coûte voyager, aussi bien le faire différemment non ???
Bon... je continue ma petite vie...
Tout se passe dans la tête et le coeur. Oui ça peut sembler contraignant d'être campé sur la beach sans service mais qu'est-ce en comparaison de la plénitude, le charme et le bonheur pur ? Il est évident que je ne vivrais pas à l'année de cette façon mais quels beaux instants quand tu peux te le permettre, l'espace de quelques jours, de revenir aux sources pour justement te ressourcer à l'essentiel de la vie et nous permettre justement de relativer son existence et surtout de revenir à l'essentiel de la vie... l'amour, le respect, la foi en toi, aux autres et en dieu (quelqu'il soit).
Les voyages n'est-ce pas fait pour cela ??? À quoi me servirait d'avoir la même chose que chez moi ??? Au prix que ça coûte voyager, aussi bien le faire différemment non ???
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Le bonheur n'est pas une destination... mais une façon de voyager !
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Re: Die sur la route...
Jour 21 – suite
Après vous avoir écrit, on est allé faire notre épicerie pour la semaine. De retour pour dîner, j’ai lu dans la roulotte car impossible pour moi de prendre du soleil tandis qu’André est retourné prendre une marche. Alors rien de bien édifiant à vous raconter.
Jour 22 – mardi 21 décembre 2010
Encore réveillés à 5h00, notre nuit était faite… normal quand on se couche à 8h30-9h00. Après le déjeuner, André est retourné prendre sa marche le long de la beach tandis que je nettoyais la roulotte et mon moi-même et j’ai fait en manger en prévision de notre dry camping sur la grève à Port Aransas durant les 3 prochains jours. J’ai fait mon ragoût de poulet et j’ai préparé un plat de bœuf haché dans une sauce aux tomates. Avec mon restant de poulet, on sera tiguidou en attendant de prendre un terrain de camping avec service. Ça sera notre cadeau de Noël… 2 jours avec électricité et eau à même la roulotte – lolll.
Après le dîner, une petite marche avec André au Visitor Center pour aller voir le nom d’un serpent qu’il avait vu ce matin sur la plage. Apparemment il s’appellerait Western Coachwhip snake mais on n’a pas de photo à vous montrer car cette fois-ci il n’avait pas apporté sa caméra. On dirait que c’est toujours ainsi… quand on voit quelque chose de spécial on n’a pas la caméra et quand on la traîne, on voit rien de spécial !!! Ça m’a fait du bien d’aller marcher, même si ce n’était pas bien loin (30-40 minutes à peu près) moi qui s’est terrée depuis les 2 derniers jours à cause de mon coup de soleil dans la figure. J’avais sorti ma crème 70 cette fois-ci… je ne me ferai plus prendre, croyez-moi !
Après vous avoir écrit, on est allé faire notre épicerie pour la semaine. De retour pour dîner, j’ai lu dans la roulotte car impossible pour moi de prendre du soleil tandis qu’André est retourné prendre une marche. Alors rien de bien édifiant à vous raconter.
Jour 22 – mardi 21 décembre 2010
Encore réveillés à 5h00, notre nuit était faite… normal quand on se couche à 8h30-9h00. Après le déjeuner, André est retourné prendre sa marche le long de la beach tandis que je nettoyais la roulotte et mon moi-même et j’ai fait en manger en prévision de notre dry camping sur la grève à Port Aransas durant les 3 prochains jours. J’ai fait mon ragoût de poulet et j’ai préparé un plat de bœuf haché dans une sauce aux tomates. Avec mon restant de poulet, on sera tiguidou en attendant de prendre un terrain de camping avec service. Ça sera notre cadeau de Noël… 2 jours avec électricité et eau à même la roulotte – lolll.
Après le dîner, une petite marche avec André au Visitor Center pour aller voir le nom d’un serpent qu’il avait vu ce matin sur la plage. Apparemment il s’appellerait Western Coachwhip snake mais on n’a pas de photo à vous montrer car cette fois-ci il n’avait pas apporté sa caméra. On dirait que c’est toujours ainsi… quand on voit quelque chose de spécial on n’a pas la caméra et quand on la traîne, on voit rien de spécial !!! Ça m’a fait du bien d’aller marcher, même si ce n’était pas bien loin (30-40 minutes à peu près) moi qui s’est terrée depuis les 2 derniers jours à cause de mon coup de soleil dans la figure. J’avais sorti ma crème 70 cette fois-ci… je ne me ferai plus prendre, croyez-moi !
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Re: Die sur la route...
Jour 23 – mercredi 22 décembre 2010
Mercredi 22, on doit décamper… c’est la loi… et j’vous dis que le Host y check son affaire !!! Debout à 7h00 on pouvait quitter vers 9h00. On s’arrête une première fois pour la vidange et le plein d’eau propre dans notre 18 litres et un petit peu dans la roulotte pour les toilettes mais peu, car André ne veut pas faire de la route avec le réservoir trop lourd d’eau car on en a besoin que pour 3 jours. On s’arrête une deuxième fois au Ace car André a besoin de s’acheter de la colle, la poignée de la porte du camion, côté conducteur, s’est fissurée. Troisième arrêt au Valero Gaz Station pour faire le plein du camion mais surtout du jerrican d’essence pour la génératrice car on va en avoir de besoin sur la beach. On a juste un petit 30 milles à faire et nous voilà donc sur la grève du Nueces County Park à environ 100-150 pieds de la mer.
Si je regarde à droite en sortant du VR

Si je regarde à gauche en sortant du VR

Eh que je fais pitié !!!
En après-midi, après le dîner, André me demande si je veux aller prendre une petite marche, question d’aller voir ce qu’il y a plus loin sur la plage. Comme on doit s’absenter environ 30 minutes, je mets mes sandales mais mal m’en pris… je pense que j’aurai droit à 2 belles ampoules demain car oui, 30 minutes pour l’aller mais un autre 30 minutes pour le retour… bon, on verra demain ! J’vous l’avais dit que j’avais des problèmes de pieds – lolll. Ça ne me tente pas de rester dans la roulotte encore pour 2 jours, mosus d’affaire. Je trempe mes pieds dans la mer et je termine mon après-midi assise sur la beach en avant de la roulotte à regarder la mer, les gens (il y en a beaucoup en ce congé de Noël) et les bateaux qui empruntent le canal pas très loin d’où on est stationné. Je vous en reparlerai demain si je peux aller voir ça de plus près.
L’an dernier, André s’était acheté le Nano Station… ce qui fait que sur la plage, on peut obtenir la connexion d’un hôtel qui n’est pas trop loin. Comme leur connexion internet n’est pas sécurisée, ben on a internet dans la roulotte en autant que nous fassions fonctionner la génératrice car ce Nano est comme un « router » qui capte les ondes plus loin que normalement. Alors, chacun son tour, on se branche sur Nano Station qui lui nous branche à internet, ce qui me permet de vous écrire à nouveau.
Mercredi 22, on doit décamper… c’est la loi… et j’vous dis que le Host y check son affaire !!! Debout à 7h00 on pouvait quitter vers 9h00. On s’arrête une première fois pour la vidange et le plein d’eau propre dans notre 18 litres et un petit peu dans la roulotte pour les toilettes mais peu, car André ne veut pas faire de la route avec le réservoir trop lourd d’eau car on en a besoin que pour 3 jours. On s’arrête une deuxième fois au Ace car André a besoin de s’acheter de la colle, la poignée de la porte du camion, côté conducteur, s’est fissurée. Troisième arrêt au Valero Gaz Station pour faire le plein du camion mais surtout du jerrican d’essence pour la génératrice car on va en avoir de besoin sur la beach. On a juste un petit 30 milles à faire et nous voilà donc sur la grève du Nueces County Park à environ 100-150 pieds de la mer.
Si je regarde à droite en sortant du VR

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Eh que je fais pitié !!!
En après-midi, après le dîner, André me demande si je veux aller prendre une petite marche, question d’aller voir ce qu’il y a plus loin sur la plage. Comme on doit s’absenter environ 30 minutes, je mets mes sandales mais mal m’en pris… je pense que j’aurai droit à 2 belles ampoules demain car oui, 30 minutes pour l’aller mais un autre 30 minutes pour le retour… bon, on verra demain ! J’vous l’avais dit que j’avais des problèmes de pieds – lolll. Ça ne me tente pas de rester dans la roulotte encore pour 2 jours, mosus d’affaire. Je trempe mes pieds dans la mer et je termine mon après-midi assise sur la beach en avant de la roulotte à regarder la mer, les gens (il y en a beaucoup en ce congé de Noël) et les bateaux qui empruntent le canal pas très loin d’où on est stationné. Je vous en reparlerai demain si je peux aller voir ça de plus près.
L’an dernier, André s’était acheté le Nano Station… ce qui fait que sur la plage, on peut obtenir la connexion d’un hôtel qui n’est pas trop loin. Comme leur connexion internet n’est pas sécurisée, ben on a internet dans la roulotte en autant que nous fassions fonctionner la génératrice car ce Nano est comme un « router » qui capte les ondes plus loin que normalement. Alors, chacun son tour, on se branche sur Nano Station qui lui nous branche à internet, ce qui me permet de vous écrire à nouveau.
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Re: Die sur la route...
Jour 24 – jeudi 23 décembre 2010
Ce matin, nous nous levons dans un brouillard passablement épais qui nous enveloppe de toute part et qui se colle au VR déposant une tonne d’humidité. À l’intérieur, on dirait que le divan et les banquettes sont mouillés, même notre linge est humide tandis que nos fenêtres sont complètement buées et l’eau dégoutte de toute part. Le soleil n’est pas au rendez-vous pour l’instant et on nous annonce une journée nuageuse avec des percées de soleil et 30% de possibilité de pluie. On décide de dépinner le camion du VR, question d’aller faire un tour d’exploration plus loin sur la beach et en ville. Mais d’abord on va réserver 3 jours au I.B. Magee Beach Park Campground pour 3 jours avec services. Comme on nous annonce du très mauvais temps pour Noël, il est préférable de quitter la beach et en plus d’avoir la possibilité de chauffer le VR avec notre petite chauffrette Honeywell. Ce fut long car 2 couples d’américains étaient avant moi et ils ont posés beaucoup de question et ne ce décidaient pas à prendre leurs sites. Mais d’un autre côté, ça a valu la peine car à la réception, on nous remettait 2 coupons pour 1 hamburger gratuit chez Wataburger pour aujourd’hui seulement de 11 à 15 heures. Par la suite, on s’en va au Leonabelle Turnbull Birding Center qui est un petit centre d’interprétation pour l’observation d’oiseaux. Très agréable mais… comme j’étais sur le retour, nous nous sommes arrêtés André et moi pour tenter de les capturer sur pellicule. Malheur nous en pris car une averse du tonnerre nous est tombée dessus. J’ai camouflé ma caméra sous mon chandail et c’est en courant que nous sommes revenus au camion. Mal le mal était fait – lolll. Nous étions trempés de la tête au pied. On s’essuie tant bien que mal avec du papier et on décide d’aller voir de quoi il retourne pour l’hamburger gratuit car il est déjà 11h35. Super… c’était bien gratuit pour ledit hamburger et nous n’avons eu qu’à nous acheter une frite et une liqueur. Eh ben… on prend les gratuités quand ça passe !!! Les gens dans le restau nous regardaient d’un d’autre d’air… on m’a même demandé si j’étais tombé à l’eau car même si le Wataburger n’était qu’à 3-4 minutes en camion du sanctuaire d’oiseaux, il n’avait pas plu sur cette rue. On avait l’air de 2 chats mouillés – lolll.
Petites commissions au IGA pour refaire le plein et nous revoilà au VR sur la beach, où je m’affaire présentement à vous écrire (pour envoyer ça ce soir quand on partira la génératrice) et à transférer les photos prises au Birding Center.
N’est-ce pas une belle vie ça ???
Ce matin, nous nous levons dans un brouillard passablement épais qui nous enveloppe de toute part et qui se colle au VR déposant une tonne d’humidité. À l’intérieur, on dirait que le divan et les banquettes sont mouillés, même notre linge est humide tandis que nos fenêtres sont complètement buées et l’eau dégoutte de toute part. Le soleil n’est pas au rendez-vous pour l’instant et on nous annonce une journée nuageuse avec des percées de soleil et 30% de possibilité de pluie. On décide de dépinner le camion du VR, question d’aller faire un tour d’exploration plus loin sur la beach et en ville. Mais d’abord on va réserver 3 jours au I.B. Magee Beach Park Campground pour 3 jours avec services. Comme on nous annonce du très mauvais temps pour Noël, il est préférable de quitter la beach et en plus d’avoir la possibilité de chauffer le VR avec notre petite chauffrette Honeywell. Ce fut long car 2 couples d’américains étaient avant moi et ils ont posés beaucoup de question et ne ce décidaient pas à prendre leurs sites. Mais d’un autre côté, ça a valu la peine car à la réception, on nous remettait 2 coupons pour 1 hamburger gratuit chez Wataburger pour aujourd’hui seulement de 11 à 15 heures. Par la suite, on s’en va au Leonabelle Turnbull Birding Center qui est un petit centre d’interprétation pour l’observation d’oiseaux. Très agréable mais… comme j’étais sur le retour, nous nous sommes arrêtés André et moi pour tenter de les capturer sur pellicule. Malheur nous en pris car une averse du tonnerre nous est tombée dessus. J’ai camouflé ma caméra sous mon chandail et c’est en courant que nous sommes revenus au camion. Mal le mal était fait – lolll. Nous étions trempés de la tête au pied. On s’essuie tant bien que mal avec du papier et on décide d’aller voir de quoi il retourne pour l’hamburger gratuit car il est déjà 11h35. Super… c’était bien gratuit pour ledit hamburger et nous n’avons eu qu’à nous acheter une frite et une liqueur. Eh ben… on prend les gratuités quand ça passe !!! Les gens dans le restau nous regardaient d’un d’autre d’air… on m’a même demandé si j’étais tombé à l’eau car même si le Wataburger n’était qu’à 3-4 minutes en camion du sanctuaire d’oiseaux, il n’avait pas plu sur cette rue. On avait l’air de 2 chats mouillés – lolll.
Petites commissions au IGA pour refaire le plein et nous revoilà au VR sur la beach, où je m’affaire présentement à vous écrire (pour envoyer ça ce soir quand on partira la génératrice) et à transférer les photos prises au Birding Center.
N’est-ce pas une belle vie ça ???
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